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Samedi 3 mai 2008 : Le
directeur de la Commission électorale a annoncé
plus d'un mois après le scrutin, le résultat de
l'élection présidentielle du 29 mars 2008. Il
indique qu'aucun des 2 candidats n'a obtenu la
majorité absolue et qu'un second tour verra
s'affronter le président sortant, Robert Mugabe, à Morgan Tsvangirai, chef du Mouvement
pour le changement démocratique (MDC) qui a
recueilli 17,9 % des suffrages contre 43,2 % pour
Robert Mugabé. Le ministère britannique des
Affaires étrangères a estimé que ce résultat
officiel manquait de "crédibilité".
Il a indiqué qu'un second tour devrait être
supervisé par davantage d'observateurs
internationaux, appelant à "une
interruption immédiate de la violence". La
Commission européenne a elle aussi souhaité une
observation internationale pour garantir un
second tour "juste et libre".
Vendredi 9 mai 2008 : Howard
Burditt, photographe de l'agence britannique de
presse Reuters, a été
libéré jeudi 8 mai 2008 après avoir passé 3
jours en détention pour avoir utilisé un
téléphone satellitaire "non enregistré
par les autorités" afin de transmettre des
photos des événements qui ont suivi les
élections générales du 29 mars 2008.
Mardi 13 mai 2008 : Un député
du l'opposition, Mouvement
pour le changement démocratique (MDC,
opposition), Heya Shoko, nouvellement élu dans
un ancien fief du parti au pouvoir, a été
arrêté lundi 12 mai 2008, à la suite de
violences dans sa circonscription. ** Le ministre
de la Justice, Patrick Chinamasa, a rejeté la
demande du chef de l'opposition, Morgan Tsvangirai,
d'autoriser le déploiement d'observateurs
occidentaux lors du second tour de l'élection
présidentielle.
Vendredi 16 mai 2008 : La
Commission électorale a annoncé le report de 21
à 90 jours du second tour de l'élection
présidentielle prévu initialement pour le 23
mai, conformément à la constitution qui impose
que le second tour soit organisé dans les 21
jours suivant l'annonce officielle des
résultats, le 2 mai 2008. L'opposition a
dénoncé ce report, y voyant une nouvelle
tentative du président Robert Mugabe, au
pouvoir depuis 28 ans et qui se présentait pour
un sixième mandat, dont le parti a essuyé un
dur revers aux élections législatives, pour
intensifier sa campagne de violence et
d'intimidation à l'encontre de l'opposition, Mouvement
pour le changement démocratique (MDC).
Lundi 19 mai 2008 : Raymond
Majongwe, secrétaire général du Syndicat
progressiste des enseignants du Zimbabwe (PTUZ)
et membre du Conseil général du Congrès
général des syndicats du Zimbabwe (ZCTU) a été
arrêté vendredi 16 mai 2008 au tribunal de
grande instance de Harare, alors qu'il assistait
à l'audience de libération sous caution de
Lovemore Matombo et Wellington Chibebe,
respectivement président et secrétaire
général du ZCTU.
Mardi 20 mai 2008 : Le
secrétaire général du Mouvement
pour le changement démocratique (MDC), Morgan Tsvangiraï, a accusé
lundi 19 mai 2008 les services du renseignement
militaire du président Robert Mugabe, au
pouvoir depuis 28 ans, d'avoir dressé une liste
d'une quarantaine de personnes de l'opposition à
abattre. Il a indiqué qu'il avait annulé son
retour au Zimbabwe "après la découverte
d'un complot" visant à l'éliminer ainsi
que son plus proche lieutenant, Tendai Biti. Le
second tour de l'élection présidentielle a
été fixé au 27 juin 2008.
Lundi 26 mai 2008 : Le chef du Mouvement
pour le changement démocratique (MDC,
opposition), Morgan Tsvangirai, arrivé
officiellement en tête du premier tour du
scrutin présidentiel des élections générales
du 29 mars 2008, est rentré dans son pays samedi
24 mai 2008 après 6 semaines d'absence pour
lancer sa campagne électorale pour le second
tour de l'élection présidentielle prévue le 27
juin 2008. Il a affirmé craindre "un
complot visant à l'éliminer". **
Le président Robert Mugabe, 84 ans,
au pouvoir depuis 28 ans, et qui se présente
pour un sixième mandat, a lancé dimanche 25 mai
2008 sa campagne pour le second tour de
l'élection présidentielle prévue le 27 juin
2008 Dans son discours, Robert Mugabe a menacé
d'expulser l'ambassadeur des Etats-Unis, qu'il a
accusé de s'immiscer dans les affaires
intérieures du pays.
Jeudi 29 mai 2008 : La Haute Commissaire de l'ONU aux
droits de l'Homme, Louise Arbour, a
condamné mercredi 28 mai 2008 les meurtres
d'opposants politiques dont les corps ont été
retrouvés ces derniers jours. Elle a dénoncé
l'augmentation du nombre d'assassinats politiques
ainsi que les arrestations, le harcèlement, les
intimidations et la violence qui ciblent non
seulement les personnes ayant des affiliations
politiques, mais aussi les membres de la
société civile, qui se poursuivent
quotidiennement. Louise Arbour a exhorté les
autorités du Zimbabwe à mener une enquête et
à traduire en justice les personnes responsables
de ces meurtres. Elle les a également engagés
à prendre des mesures d'urgence pour protéger
les habitants du pays d'autres attaques, afin de
créer une atmosphère propice à la tenue
d'élections présidentielles libres et justes le
27 juin 2008.
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