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ARCHIVES DECEMBRE 2004
Mercredi
8 décembre 2004 : L'Office statistique de
l'Union européenne, Eurostat, a
indiqué mardi que la Chine est maintenant le deuxième partenaire
commercial de l'Europe des 25 (format
pdf), après un doublement des échanges entre
1999 et 2003 portant les exportations de 19,6
milliards à 41,2 milliards d'euros, et les
importations de 52,4 à 105,3 milliards d'euros.
En 1999, la Chine était la sixième destination
pour les exportations de l'Union et la quatrième
pour les importations. En 2003, elle occupait la
troisième place pour les exportations derrière
les Etats-Unis et la Suisse, et la deuxième
place pour les importations, après les
Etats-Unis.
Jeudi 9 décembre 2004 : L'Union européenne a annoncé
qu'elle enverrait une mission d'observation
composée de 180 observateurs chargés de
surveiller le scrutin présidentielle du 9
janvier 2005 dans les territoires autonomes
palestiniens. Cette mission sera dirigée par
l'ancien Premier ministre socialiste français,
et député au Parlement européen depuis le 12
juin 1994, Michel Rocard. Michel
Rocard avait été à l'origine d'une polémique
sur la question palestinienne en déclarant dans
un discours sur "L'Europe, l'Amérique et le
Proche-Orient" prononcé à la Bibliothèque
d'Alexandrie en Egypte en juin 2004,
selon une traduction de l'arabe (NDLR. du
quotidien en ligne Proche-Orient.info) provenant
du quotidien saoudien publié à Londres "Asharq Al Awsat" :
"L'origine du problème palestinien est la
promesse donnée par les Anglais aux Juifs de
fonder un Etat nationaliste. Ce fut une erreur
historique..." Insistant, toujours selon
"Asharq Al Awsat" : "Israël est
un cas exceptionnel, qui s'est transformé en un
Etat racial et qui a rassemblé des millions de
Juifs venus du monde entier. Pire, il constitue
une menace pour ses voisins". Michel Rocard
sommé de s'expliquer par les organisations
sionistes et socialistes françaises (Parti
socialiste) avait réagi en évoquant une erreur
d'interprétation. L'homme politique français,
chassé de tous ses mandats nationaux, alors
Premier ministre, est atteint dans sa
crédibilité politique, par le vote, le 20
juillet 1988 à l'Assemblée nationale de
l'amnistie des délits liés au financement
politique, amnistie qui mettra un terme
définitif à la carrière de l'homme d'Etat
socialiste et milliardaire. La fortune de Michel
Rocard proviendrait pour partie de son père Yves
Rocard qui fut, dès 1955, le directeur
scientifique du BEG ("Bureau d'Etudes
Générales") sur la recherche atomique
militaire classée "Secret Défense" au
CEA (Commissariat à l'Energie Atomique) qui donna
à la France sa première bombe atomique, et, à
Israël, selon les experts qui soutiennent des
thèses opposées selon lesquelles ce serait les
plans de la bombe américaine qui auraient été
"récupérés" par Israel, puis
revendus à la France, et non le contraire. Plus de
détails sur les déclarations sur le
Proche-Orient : LE VRAI DISCOURS DE MICHEL ROCARD
SUR ISRAEL
Vendredi 10 décembre 2004 : De passage
à Bruxelles, la capitale, où il assistait jeudi
à une réunion des 26 pays membres de l'OTAN, le
secrétaire d'Etat américain, Colin Powell, qui
a démissionné de son poste le 15 novembre 2004,
a affirmé qu'il ne briguerait aucun mandat
politique rejetant ainsi les spéculations selon
lesquelles il pourrait participer à la prochaine
élection pour le poste de sénateur ou de
gouverneur dans l'Etat de New York, dont il est
originaire. Un sondage réalisé par l'université
Quinnipiac lui accordait 47 % des
intentions de vote contre 42 % au démocrate
Eliot Spitzer, le ministre de la Justice de
l'Etat, dans l'hypothèse où ils seraient les 2
principaux candidats pour ce scrutin en 2006.
Certains Républicains auraient demandé à Colin
Powell de se présenter pour faire barrage à la
réélection d'Hillary Clinton. ** Viviane Reding, membre de
la Commission européenne, commissaire
responsable de l'éducation et de la culture, a
annoncé mardi qu'elle avait invité les Etats
membres de l'Union Européenne à procéder à un
"échange de vues" sur les problèmes
de diffusion de chaînes extra-communautaires
dans l'Union, à la suite du scandale Al-Manar tv en France. Viviane
Reding a adressé une lettre au ministre
français de la Culture, Renaud Donnedieu de
Vabres, l'informant de la convocation du
"Comité de contact" établi par la
directive européenne "Télévision sans
frontières" pour examiner "les
problèmes d'ordre public susceptibles d'être
causés par la diffusion sur le territoire de
l'Union européenne de chaînes
extra-communautaires". Al-Manar a accusé
Israël de mener campagne pour obtenir
linterdiction de la chaîne du Hezbollah
libanais en France. "Nous savons que le
gouvernement israélien revendique la campagne
médiatique et la saisine en France du CSA -
Conseil supérieur de l'audiovisuel aux fins
dinterdire la diffusion
dAl-Manar", (Hezbollah's channel) qui
prépare un "code déontologique" pour
se mettre en "conformité" avec la
législation française.
Mardi 14 décembre 2004 : Le ministre
français des Affaires étrangères Michel Barnier a indiqué
mardi à Bruxelles en marge d'une réunion des 25
membres de l'Union européenne, que
"la France demandera à Ankara de
reconnaître la tragédie qui a touché au début
du siècle dernier plusieurs milliers
d'Arméniens" lors des négociations
d'adhésion de la Turquie à l'Union
européeenne, estimant qu'un "grand pays
comme la Turquie doit faire son devoir de
mémoire". L'Arménie accuse la Turquie du génocide de 1,5
million d'Arméniens entre 1915 et 1923, lorsque
le pays faisait encore partie de l'Empire
ottoman. Ankara conteste le chiffre, parlant de
300 000 victimes d'un conflit civil. Le Parlement français avait reconnu en 2001 le
génocide entraînant un boycott des produits
français et l'exclusion d'entreprises
françaises de contrats de défense. Des
organisations de défense de la cause arménienne
ont appelé à une grande manifestation vendredi
à Bruxelles devant le Conseil européen.
Vendredi 17 décembre 2004 : Le Premier
ministre néerlandais Jan Peter Balkenende, dont le
pays assure la présidence tournante de l'Union
européenne (UE), a indiqué jeudi que l'UE a
proposé à la Turquie d'ouvrir le 3 octobre 2005
des négociations en vue de son adhésion.
Samedi 18 décembre 2004 : L'Union européenne a proposé
vendredi à la Croatie d'ouvrir le 17 mars 2005
des négociations en vue de son adhésion, à
condition qu'elle coopère pleinement avec le
Tribunal pénal international pour
l'ex-Yougoslavie (TPIY). Le traité d'adhésion
de la Bulgarie et de la Roumanie sera signé en
avril 2005 pour une adhésion prévue en janvier
2007.
Lundi 20 décembre 2004 : Commémoration
à Bastogne du 60ème
anniversaire de la "Bataille des
Ardennes" . Samedi, le roi des Belges Albert
II avait participé à Bastogne, en présence
d'une centaine de vétérans, à l'hommage aux
quelque 80 000 soldats américains tués,
blessés ou portés disparus durant des combats
qui avaient également fait 2 500 victimes parmi
les civils.
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